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Par GReLiSC le 4 Octobre 2011 à 14:14
Colloquium de l’Institut d’Etudes Cognitives (IEC)
Mardi 11/10/2011
12h à 13h30 – Salle Paul Langevin – 29 rue d’Ulm – 1er étage
Jonathan Cohen
University of California, San Diego
Synesthetic Perception as Continuous With Ordinary Perception, or: We're All Synesthetes Now
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Par GReLiSC le 3 Octobre 2011 à 09:46
6 octobre. Catharine Mason (Caen). Projet VOVA : le discours oral stylisé
10 novembre. Catherine Bougy (Caen). Des caractères et de l’extension de la dialectologie normande
1er décembre. Séminaire des doctorants, 14h-17h, salle SH 028 MRSH
15 décembre. Sophie Anquetil (Caen). La taxinomie de Searle face à la langue naturelle
5 janvier. Georges Kleiber (Strasbourg). Mon nom est PERSONNE : qui est je ? Qui est tu ?
24 mai. Maxi Krause (Caen). Le système des relations spatiales en français
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Par GReLiSC le 24 Septembre 2011 à 10:35
Université de Savoie, 13-15 octobre 2011
Présidence de l’UdS, 27, rue Marcoz, 73000 Chambéry
Comité local : Dominique Lagorgette, Sabine Lardon, Marie-Ange Mayoussier1) l'importance des données non littéraires pour l'histoire de la langue ;
2) le problème des traces de l'oralité dans la diachronie ;
L'ensemble des variations sera étudié.
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Par GReLiSC le 18 Septembre 2011 à 17:47
Le format du séminaire intitulé l'année dernière "Questions de linguistique théorique. Comprendre" se transforme cette année. Les séances hebdomadaires du deuxième semestre sont remplacées par des séances tout au long de l'année, toutes les trois semaines environ. Elles auront lieu le mercredi, de 16h à 18h. Autre nouveauté, le séminaire est co-organisé avec les philosophes du Centre Chevrier. Programme à suivre sur ce blog.
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Par GReLiSC le 16 Septembre 2011 à 16:50
Langage et analogie. Figement. Argumentation.
Colloque international organisé par :
Mohamed Bouattour (Université de Sfax), Salah Mejri (Université de Paris XIII et Université de Manouba)
et Philippe Monneret (Université de Bourgogne)
Sfax-Tozeur (Tunisie)
4 et 5 octobre 2012
Parmi les questions sur lesquelles l'humanité se penche depuis qu'elle a appris à penser, l'analogie se distingue par une série de thématisations explicites, récurrentes au cours des siècles, dans des champs aussi divers que le droit, la médecine (en particulier orientale), les mathématiques, la théologie, la psychologie, la philosophie, la littérature ou encore la linguistique, sans compter toutes les sciences qui recourent à une forme ou une autre de modélisation, ni le rôle de l'analogie dans la découverte scientifique ou dans l’évolution des techniques. Reprendre cette question au XXIe siècle, c'est d'abord prendre acte du fait qu'en dépit de multiples tentatives, elle n'a toujours pas fait l'objet d'une unification cohérente, qui permette de relier la capacité cognitive dont dérive l'aisance extraordinaire qu'ont les hommes (ainsi que d'autres espèces animales) de produire des analogies, à l'ensemble des représentations, mentales ou publiques, qui en découlent. Si certaines espèces, dont l'espèce humaine, ont développé de telles capacités analogiques, c'est probablement que ces dernières procurent un avantage adaptatif majeur, celui d'une perception souple et perfectible, impliquant des catégories non pas rigides mais floues, en ce qu'elles reposent sur un principe de similarité plutôt que sur les clivages rigides de la différence et de l'identité. Ces dernières peuvent être considérées comme des stabilisations momentanées d'une dynamique analogique plus fondamentale, puisque l'analogie est à la fois, et irréductiblement, différence et identité. Du point de vue méthodologique, la problématique analogique se situe donc sur un plan qui échappe par principe à une épistémologie de type structuraliste.Les détails dans la rubrique COLLOQUES 2012
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Par GReLiSC le 15 Septembre 2011 à 10:52
Just as one may wonder why we should enjoy watching tragic plays, listening to‘sad’ music, or looking at ‘ugly’ pictures, we might also ask what joy is to be had, and why, in reading lines such as ‘No worst, there is none. Pitched past pitch of grief, / More pangs will, schooled at forepangs, wilder wring’ (G.M. Hopkins). I offer two reasons to explain the paradox of negative emotions in the case of poetry (lyric poetry in particular). The first is that the pleasure we derive from formal poetic devices (alliteration, rhyme, meter, and so on) provides a countervailing weight to the sad or painful meaning of the words and sentences. While the artistry does not do away with those meanings, it helps make them bearable and even enjoyable.The second reason emerges from the first-person voice of lyric poetry, which promotes a phenomenon I call ‘poetic appropriation’, where we take a poet’s words as if they were our own.
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