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Operational Iconicity and Creative Translation by Joao Queiroz
Institute for American Thought Indiana University School of Liberal Arts IUPUI The Peirce Seminar Series is proud to present: Operational Iconicity and Creative Translation by Joao Queiroz
Institute of Arts and Design, Federal University of Juiz de Fora, Brazil Thursday, 23 February 2012 6 p.m. ES0016
Abstract : The idea of creative translation as a predominantly iconic process has being developed by several authors. Such identification (icon = creative translation) has many consequences. We know, at least since Charles Morris (1971), that the aesthetic sign is predominantly iconic. But the ideas of analogy and similarity, central to this thesis, can be developed in new directions. When an operational criterion is adopted, the icon is defined as anything whose manipulation can reveal more information about your object, and algebra, syntax, graphs, and the formalization of various types should be recognized as icons. This definition is considered a detrivilization of the notion that the icon is fundamentally based on a relation of similarity. Diagrams are icons associated with the discovery of new relations. I would like to do two things here. One is to introduce the idea that creative translation recreates a multi-level system of relations, an operation that can be described as typically diagrammatic; the other is to explore some implications of this idea in the field of Translation Studies, with focus on the phenomena of intersemiotic translations. I hope the general ideas outlined here support an epistemology of translation, with consequences in a research agenda that should be carefully detailed, and exhaustively exemplified.
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Colloquium de l’Institut d’Etudes Cognitives (IEC)
Mardi 11/10/2011
12h à 13h30 – Salle Paul Langevin – 29 rue d’Ulm – 1er étage
Jonathan Cohen
University of California, San Diego
Synesthetic Perception as Continuous With Ordinary Perception, or: We're All Synesthetes Now
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6 octobre. Catharine Mason (Caen). Projet VOVA : le discours oral stylisé
10 novembre. Catherine Bougy (Caen). Des caractères et de l’extension de la dialectologie normande
1er décembre. Séminaire des doctorants, 14h-17h, salle SH 028 MRSH
15 décembre. Sophie Anquetil (Caen). La taxinomie de Searle face à la langue naturelle
5 janvier. Georges Kleiber (Strasbourg). Mon nom est PERSONNE : qui est je ? Qui est tu ?
24 mai. Maxi Krause (Caen). Le système des relations spatiales en français
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Université de Savoie, 13-15 octobre 2011
Présidence de l’UdS, 27, rue Marcoz, 73000 Chambéry
Comité local : Dominique Lagorgette, Sabine Lardon, Marie-Ange Mayoussier1) l'importance des données non littéraires pour l'histoire de la langue ;
2) le problème des traces de l'oralité dans la diachronie ;
L'ensemble des variations sera étudié.
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Le format du séminaire intitulé l'année dernière "Questions de linguistique théorique. Comprendre" se transforme cette année. Les séances hebdomadaires du deuxième semestre sont remplacées par des séances tout au long de l'année, toutes les trois semaines environ. Elles auront lieu le mercredi, de 16h à 18h. Autre nouveauté, le séminaire est co-organisé avec les philosophes du Centre Chevrier. Programme à suivre sur ce blog.
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Langage et analogie. Figement. Argumentation.
Colloque international organisé par :
Mohamed Bouattour (Université de Sfax), Salah Mejri (Université de Paris XIII et Université de Manouba)
et Philippe Monneret (Université de Bourgogne)
Sfax-Tozeur (Tunisie)
4 et 5 octobre 2012
Parmi les questions sur lesquelles l'humanité se penche depuis qu'elle a appris à penser, l'analogie se distingue par une série de thématisations explicites, récurrentes au cours des siècles, dans des champs aussi divers que le droit, la médecine (en particulier orientale), les mathématiques, la théologie, la psychologie, la philosophie, la littérature ou encore la linguistique, sans compter toutes les sciences qui recourent à une forme ou une autre de modélisation, ni le rôle de l'analogie dans la découverte scientifique ou dans l’évolution des techniques. Reprendre cette question au XXIe siècle, c'est d'abord prendre acte du fait qu'en dépit de multiples tentatives, elle n'a toujours pas fait l'objet d'une unification cohérente, qui permette de relier la capacité cognitive dont dérive l'aisance extraordinaire qu'ont les hommes (ainsi que d'autres espèces animales) de produire des analogies, à l'ensemble des représentations, mentales ou publiques, qui en découlent. Si certaines espèces, dont l'espèce humaine, ont développé de telles capacités analogiques, c'est probablement que ces dernières procurent un avantage adaptatif majeur, celui d'une perception souple et perfectible, impliquant des catégories non pas rigides mais floues, en ce qu'elles reposent sur un principe de similarité plutôt que sur les clivages rigides de la différence et de l'identité. Ces dernières peuvent être considérées comme des stabilisations momentanées d'une dynamique analogique plus fondamentale, puisque l'analogie est à la fois, et irréductiblement, différence et identité. Du point de vue méthodologique, la problématique analogique se situe donc sur un plan qui échappe par principe à une épistémologie de type structuraliste.Les détails dans la rubrique COLLOQUES 2012
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Just as one may wonder why we should enjoy watching tragic plays, listening to‘sad’ music, or looking at ‘ugly’ pictures, we might also ask what joy is to be had, and why, in reading lines such as ‘No worst, there is none. Pitched past pitch of grief, / More pangs will, schooled at forepangs, wilder wring’ (G.M. Hopkins). I offer two reasons to explain the paradox of negative emotions in the case of poetry (lyric poetry in particular). The first is that the pleasure we derive from formal poetic devices (alliteration, rhyme, meter, and so on) provides a countervailing weight to the sad or painful meaning of the words and sentences. While the artistry does not do away with those meanings, it helps make them bearable and even enjoyable.The second reason emerges from the first-person voice of lyric poetry, which promotes a phenomenon I call ‘poetic appropriation’, where we take a poet’s words as if they were our own.
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